Université de Gand

Buste Jean Varin

Buste Jean Varin, réalisé par Louis Dupont, 6 février 1928.

Au lendemain de l’Exposition universelle de 1905, le parc de la Boverie, à Liège, devient progressivement le lieu privilégié pour accueillir des monuments dédiés principalement à des artistes liégeois. Dès 1907, est inauguré un buste dédié au peintre Léon Philippet ; en juillet 1923, Gilles Demarteau est honoré à son tour, avant que ne les rejoignent, sans être exhaustif, Louis Boumal (1925), Jean Varin (1928), Jean-Barthélémy Renoz (1930), Armand Rassenfosse (1935), Adrien de Witte (1938), Georges Antoine (1938), Auguste Donnay (1956 ?) et Richard Heintz (1956). Une galerie des bustes prend ainsi place dans la pergola du parc de la Boverie ; elle permet au public de croiser une palette d’artistes de renom, du moins jusqu’au début du XXIe siècle. On assiste en effet alors à une série de disparitions et d’actes de vandalisme (vols, dégradation, lancer de buste dans la Meuse…) contraignant les autorités liégeoises à mettre à l’abri certains bustes restants. Si quelques monuments restent intacts, d’autres ont entièrement disparu, comme en témoignent certains socles nus.

Inauguré le 6 février 1928, le buste de Jean Varin n’a pas échappé à ce phénomène de vandalisme urbain. Le socle est toujours présent, mais le buste a disparu. Réalisé en bronze coulé, d’une dimension de 83 centimètres de haut sur 91 de large et 53 de profondeur, il n’en reste que le plâtre qui est précieusement conservé par le BAL. Comme d’autres bustes, il était dû à l’initiative de l’Œuvre des Artistes qui en avait confié la réalisation au sculpteur liégeois Louis Dupont (1896-1967). Natif de Waremme, élève d’Adrien de Witte, il n’a pas encore une grande expérience quand lui est confié le buste de Jean Varin, mais ceux qui l’ont choisi sont sûrs de son talent. N’a-t-il pas reçu une bourse du gouvernement en 1921 et, en 1928, le Prix Trianon lui est décerné. Par la suite, au bas-relief Hubert Stiernet (1925), au buste Jean Varin (1928), au médaillon Georges Antoine (1929) et surtout au buste Ysaÿe (1936) puis à celui de César Thompson (1939) s’ajouteront d’autres expériences concluantes comme sa collaboration avec Adelin Salle et Robert Massart sur l’important chantier des bas-reliefs du Lycée de Waha (1937), ou son Métallurgiste pour le monument Albert Ier à l’île Monsin (1939). De nombreuses autres commandes parviendront à l’artiste après la Seconde Guerre mondiale, principalement des bas-reliefs, avant que ne lui soient confiés le monument national de la Résistance (1955), puis les reliefs sur les bâtiments de la faculté de Philosophie et Lettres de l’Université de Liège (1958). Dessinateur, médailliste et statuaire, professeur de sculpture à l’Académie de Liège (1949-1967), Louis Dupont recevra en 1954 le Prix de Sculpture décerné par la province de Liège pour l’ensemble de son œuvre. Le buste Jean Varin est quasiment une œuvre de jeunesse ; elle a dû constituer une sorte de défi pour Louis Dupont car il lui était demandé de représenter une personnalité qui s’était particulièrement illustrée en tant que graveur et médailleur à la cour du roi de France.

Natif de Liège en 1607, Jean Varin a fait une carrière prestigieuse à Paris (où il est décédé en 1672) ; il y est aussi sculpteur et ses bustes de Richelieu, de Louis XIII et de Louis XIV adolescent contribuent à sa renommée artistique. Redécouvert à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle, il est l’un des meilleurs représentants de l’excellence du pays wallon du XVIIe siècle. Tailleur général des monnaies et réformateur du système monétaire du royaume de France, réalisateur du sceau de la toute nouvelle Académie française, « contrôleur général des poinçons et effigies » (1647), ce Wallon avait obtenu, en 1650, « ses lettres de naturalisation française ». « Conseiller et secrétaire du Roy, intendant et ordonnateur des bâtiments royaux, jardins, tapisseries et manufactures » (1656), Varin n’en finira pas d’être honoré sous Louis XIV qui le nommera « Conseiller du Roy en ses Conseils d’État et privé » (1660). En 1665, il est encore reçu comme membre de l’Académie royale de peinture et de sculpture et c’est là que ses contemporains saluent son talent et ses efforts pour rendre ses lettres de noblesse à l’art de la médaille de la France. Plus de 250 médailles, pièces de monnaie et jetons portent les coins et poinçons gravés par Jean Varin.

Sources

Louis Dupont : exposition du 29 avril au 21 mai 1983, Liège, Province de Liège, Service des affaires culturelles, 1983
Salon de la libération : musée des beaux-arts, du 1er juin au 15 juillet 1946... (hommage à la résistance liégeoise) : la peinture française, de David à Picasso, art wallon contemporain, le peintre Jacques Ochs, les sculpteurs Louis Dupont, Robert Massart, Adelin Salle, Liège, imprimerie Bénard, 1946
Charles BURY, Les Statues liégeoises, dans Si Liège m’était conté, n°35, été 1970, p. 15
Paul PIRON, Dictionnaire des artistes plasticiens de Belgique des XIXe et XXe siècles, Lasne, 2003, t. I, p. 532-533
Musée en plein air du Sart Tilman, Art&Fact asbl, Parcours d’art public. Ville de Liège, Liège, échevinat de l’Environnement et Musée en plein air du Sart Tilman, 1996
La Vie wallonne, janvier 1930, CXIII, p. 165-173
Georges de FROIDCOURT, dans Biographie nationale, t. 26, col. 497-501
Georges de FROIDCOURT, Les origines liégeoises de Jean Varin, graveur général des monnaies de France, Bruxelles, 1934
Edmond GLESENER, dans La Vie wallonne, janvier 1930, CXIII, p. 165-173
Nicole DARDING, Jean Varin, de Liège à Paris, dans Mélanges Pierre Colman, Art&Fact, Liège, 1996, n°15, p. 128-130
Marie-Georges NICOLAS-GOLDENBERG, La Vie wallonne, IV, 1975, n°352, p. 193-203
Histoire de la Wallonie (L. GENICOT dir.), Toulouse, 1973, p. 259, 302
La Wallonie. Le Pays et les Hommes. Lettres - arts - culture, t. II, p. 289-290
Jules HELBIG, La Sculpture et les Arts plastiques au Pays de Liège et sur les bords de la Meuse, Liège, 1890, p. 16

 

Buste Jean Varin (Liège) – inauguration du buste

Parc de la Boverie
4020 Liège

carte

Paul Delforge

© Gravure du XVIIe siècle par Gérard Edelinck

Varin Jean

Culture, Sculpture

Liège 06/02/1607, Paris 26/08/1672


Connu comme graveur et médailleur à la cour du roi de France, Jean Varin a fait une carrière prestigieuse à Paris ; il est aussi sculpteur et ses bustes de Richelieu, de Louis XIII et de Louis XIV adolescent contribuent à sa renommée artistique qui en fait l’un des meilleurs représentants de l’excellence du pays wallon au XVIIe siècle. Pourtant, c’est avant tout comme tailleur général des monnaies et comme le réformateur du système monétaire du royaume de France qu’il faudrait présenter ce Wallon qui obtint, en 1650, « ses lettres de naturalisation française ». Un peu à la même époque, une autre famille liégeoise, les Kock, apportait son savoir-faire en matière monétaire dans l’empire germanique et surtout en Suède : Remacle – Marcus – Kock sera « maître des monnaies du royaume de Suède », tandis que Jean Varin accomplira une tâche similaire dans le royaume de France. Il y a là plus qu’une coïncidence.

Au début du XVIIe siècle, le père de Jean Varin qui était originaire de Sedan avait été appelé à Liège, autre ville mosane, par le prince-évêque, comme graveur de coins et de poinçons ; il travaillait à Liège et à Bouillon pour l’évêque, mais aussi à Rochefort et à Cugnon pour le comte de Lowenstein-Rochefort. C’est là que le jeune Jean Varin fait ses premières armes et se trouve mêlé à une grave affaire de fausse monnaie. Cherchant refuge en Angleterre, il est invité à Paris par un Richelieu particulièrement bien informé tant des talents de dessinateur, sculpteur et graveur du jeune Liégeois que de son habileté à mettre au point des machines de son invention. Paris lui ouvre ses portes vers 1626-1627 et cet « étranger » y bénéficiera des faveurs des plus hautes autorités du royaume. 

Abjurant la religion protestante dont le comte de Lowenstein était un propagandiste notoire pour la foi catholique dont le cardinal était le garant, cet ancien « braconnier » devient le meilleur « garde-champêtre » du royaume : au service de ses nouveaux protecteurs, il réorganise tout le système monétaire en étant attentif à empêcher tout procédé de faux-monnayage… « Conducteur de la Monnaie du Moulin » dans les années 1630, celui à qui a été confiée la réalisation du sceau de la toute nouvelle Académie française – avec le profil de Richelieu – (1635) devient « graveur et conducteur général » (1642), puis « graveur des sceaux du roy » et « tailleur général des monnaies de France » (1646), et enfin « contrôleur général des poinçons et effigies » (1647). Un article paru dans la Grande Encyclopédie en 1765 vante les perfectionnements exceptionnels apportés par Jean Varin à la frappe de toutes sortes de pièces. L’artisan wallon avait apporté à Paris son savoir-faire, en l’occurrence une innovation technique plus perfectionnée de laminage, à savoir la fenderie (à l’exemple de Marcus Kock en Suède).

« Conseiller et secrétaire du Roy, intendant et ordonnateur des bâtiments royaux, jardins, tapisseries et manufactures » (1656), Varin n’en finit pas d’être honoré sous Louis XIV qui le nomme « Conseiller du Roy en ses Conseils d’État et privé » (1660). Est-ce la consécration ? Toujours est-il qu’en 1665, il est reçu comme membre de l'Académie royale de peinture et de sculpture et que c’est là que ses contemporains saluent son talent et ses efforts pour rendre ses lettres de noblesse à l’art de la médaille de la France. Plus de 250 médailles, pièces de monnaie et jetons portent les coins et poinçons gravés par Jean Varin.

En or, le buste de Richelieu (1642) est considéré comme l'œuvre maîtresse du sculpteur ; c’est aussi l’un des très rares portraits conservés du vivant de Richelieu. Aujourd’hui disparu, le buste original a fait place à des copies qui témoignent des qualités de Varin dont on n’a conservé en fait que très peu de bustes ; mais quel buste ! Celui en bronze de Louis XIII (c. 1643) et un autre de Henri IV, deux en marbre du jeune Louis XIV. Quant à ses tableaux – Varin a réalisé des portraits fort admirés – aucun n’a traversé le temps pour nous en apporter le témoignage.

 

Sources

Georges de FROIDCOURT, dans Biographie nationale, t. 26, col. 497-501
Georges de FROIDCOURT, Les origines liégeoises de Jean Varin, graveur général des monnaies de France, Bruxelles, 1934
Edmond GLESENER, dans La Vie wallonne, janvier 1930, CXIII, p. 165-173
Nicole DARDING, Jean Varin, de Liège à Paris, dans Mélanges Pierre Colman, Art&Fact, Liège, 1996, n°15, p. 128-130
Marie-Georges NICOLAS-GOLDENBERG, La Vie wallonne, IV, 1975, n°352, p. 193-203
Histoire de la Wallonie (L. GENICOT dir.), Toulouse, 1973, p. 259, 302
La Wallonie. Le Pays et les Hommes. Lettres - arts - culture, t. II, p. 289-290
Jules HELBIG, La Sculpture et les Arts plastiques au Pays de Liège et sur les bords de la Meuse, Liège, 1890, p. 16

Renoz Jacques-Barthélemy

Culture, Architecture

Liège 28/08/1729, Liège 02/10/1786


Architecte remarquable, constructeur habile et fécond, Jacques-Barthélemy Renoz a signé de nombreux édifices remarquables dans la principauté de Liège de la deuxième moitié du XVIIIe siècle.

Très tôt attiré par le dessin, il commence ses études d’architecture à Liège et les termine, comme beaucoup d’autres wallons à l’époque, dans la capitale française où il côtoie de nombreux autres artistes, tels Varin et Duvivier. À son retour dans sa ville natale, en 1754, alors âgé de vingt-cinq ans à peine, il est chargé de la direction des travaux de l’église collégiale de Saint-Jean l’Évangéliste, alors en ruine. Les plans ont été dessinés par Pisoni, l’architecte italien bien connu qui s’était chargé de la reconstruction de la cathédrale Saint-Aubin de Namur. En assurant parfaitement l’exécution des travaux de l’église liégeoise, Renoz s’assure une réputation définitive.
À Liège, il construit encore l’église du Couvent des Augustins (1766), bâtie sur le Boulevard d’Avroy et celle de Saint-André (1772). Il dessine également les plans de l’Hôtel de la Société littéraire (1786) et est l’auteur de la plupart des constructions civiles de la principauté, comme l’Hôtel de ville de Verviers (1775-1780), dont les travaux ont commencé en 1775, et le Waux-Hall de Spa, maison de jeux et d’assemblées de style néoclassique, bâtie, en 1762, d’après les plans de l’architecte Digneffe.

Nommé directeur, en 1774, de l’Académie de Dessin fondée la même année par le prince-évêque Velbrück, lauréat du concours organisé par la Société d’Émulation, en 1779, dont l’objet était « Un plan d’embellissement de la ville de Liège », J-B. Renoz développe à cette occasion le projet d’une nouvelle place publique à établir à Liège, dont les travaux seraient « sans charge pour le peuple ». Son mémoire fut couronné et imprimé par la Société en 1781.

 

Sources


Jules HELBIG, dans Biographie nationale, t. 19, col. 131-135
Nathalie DE HARLEZ DE DEULIN, Décors intérieurs en Wallonie, t. 3, 2005, p. 234 et 260

Duvivier Jean

Culture, Sculpture

Liège 07/02/1687, Paris 30/04/1761

Paris se souvenait toujours de Jean Varin (1607-1672) lorsqu’un autre graveur de médailles wallon vient s’installer dans la capitale du royaume de France et réussit à s’y faire apprécier au point d’être choisi comme le graveur des médailles du roi et d’entrer à l’Académie royale de Peinture et de sculpture (1718).

Jean Duvivier avait sans doute hérité du savoir-faire paternel ; Gendulphe Duvivier était le graveur des cachets et de la vaisselle du prince-évêque de Liège. Très tôt initié aux techniques de la gravure mais aussi de la peinture qu’il affectionnait davantage, accueilli à l’Académie des Beaux-Arts de Paris où il se distingua par la qualité de ses dessins, Jean Duvivier ne peut concourir au Prix de Rome, étant considéré comme un « étranger » dans le pays de Louis XIV. Privé du voyage en Italie, il fera carrière à Paris.

Graveur de la vaisselle du roi, il fige le portrait du doyen des avocats du conseil de Paris dans une médaille qui est remarquée. Sa voie est toute tracée. Protégé par M. De Valdor, résident du prince-évêque de Liège près de la cour de France, Duvivier devient celui qui, le burin à la main, inscrit sous forme de médaille les événements importants des règnes de Louis XIV et de Louis XV : traités, batailles, épisodes de la vie du roi et de la famille royale, etc. Son dessin est sûr, grande est son inventivité. Sa production a été considérable, chacun souhaitant lui passer commande : ministres, cardinaux, municipalités, familles royales et princières en France comme à l’étranger. Parmi ses meilleures médailles, on cite volontiers celle de Pierre le Grand, offerte au tsar de passage à Paris, sans qu’il dût poser. Digne successeur de Varin, Duvivier restera en grâce, malgré une humeur difficile, jusqu’à son dernier souffle au point qu’à la question de son remplaçant, on répondait sans hésitation qu’il ne pourrait s’agir que d’un Liégeois (« Trouverons-nous un autre Liégeois pour cet emploi ? », surintendant des bâtiments Marigny). 

Sources

Jacques STIENNON, dans La Wallonie. Le Pays et les Hommes. Lettres - arts - culture, t. II, p. 291-292
Histoire de la Wallonie (L. GENICOT dir.), Toulouse, 1973, p. 307
Félix STAPPAERTS, dans Biographie nationale, t. 6, col. 383-391
Henry NOCQ, Les Duvivier (…). Essai d’un Catalogue de leurs œuvres précédé d’une notice biographique et bibliographique (…), Paris, Société de propagande des œuvres d’art, 1911

Duvivier Benjamin

Culture, Sculpture

Paris 05/11/1730, Paris 11/07/1819

Paris salua avec faveur le talent de Jean Varin (1607-1672) et de Jean Duvivier (1687-1761), et finit par croire qu’il n’y avait de bons graveurs de médailles qu’en pays de Liège. Fils de Jean Duvivier, Benjamin aurait pu être le troisième à ajouter son nom. Son talent était grand, mais les événements politiques en décidèrent autrement.

Père de 17 enfants, Jean Duvivier ne verra finalement grandir que trois d’entre eux, dont Benjamin, né à Paris où la famille était installée depuis longtemps déjà. De son père, il hérita du talent de graveur malgré les fortes préventions dont Jean Duvivier entourait son fils pour qu’il ne s’inscrive pas dans son sillon. Sans égaler le maître, Benjamin Duvivier conserva la confiance de la cour et poursuivit les travaux officiels d’une fonction qui lui permettrait de continuer à vivre au Louvre. En 1764, il devient Graveur du roi Louis XV et, dix ans plus tard, il achète la charge de graveur général des Monnaies, fonction qu’il exerce jusqu’en 1791. En 1774, année de l’accession au trône de Louis XVI, Benjamin Duvivier est admis à l’Académie royale de peinture et de sculpture.

Attentif aux événements importants du règne de Louis XV et Louis XVI, qu’il s’agisse de circonstances privées ou publiques, Benjamin Duvivier en représente un grand nombre sur ses médailles ; il s’intéresse aussi à ce qui se passe sur le continent américain et réalise notamment un portrait de George Washington. Comme son père, il est fortement sollicité pour la réalisation de portraits. Influencé par les idées nouvelles (il grave notamment une « Abolition des privilèges »), il perd sa charge de graveur général lorsque l’office des monnaies est supprimé (mai 1791). Il retrouve une place dans l’histoire de la médaille française sous l’Empire ; en 1806, la classe des Beaux-Arts de l’Institut le nomme dans la section de la gravure. Conscient de ses origines wallonnes, il rappellera explicitement sur une médaille dédiée à son père les origines liégeoises de la famille (1797).

Sources

Jacques STIENNON, dans La Wallonie. Le Pays et les Hommes. Lettres - arts - culture, t. II, p. 291-292
Histoire de la Wallonie (L. GENICOT dir.), Toulouse, 1973, p. 307
Henry NOCQ, Les Duvivier (…). Essai d’un Catalogue de leurs œuvres précédé d’une notice biographique et bibliographique (…), Paris, Société de propagande des œuvres d’art, 1911
Félix STAPPAERTS, dans Biographie nationale, t. 6, col. 383-391
http://data.bnf.fr/14954075/pierre_simon_benjamin_duvivier/ (s.v. novembre 2014)

La sculpture de la fin du Moyen Âge en pays wallon est d’abord marquée par l’introduction de nouvelles formes inspirées de l’Antiquité. Le style évoluera ensuite vers un mélange de style baroque et de néo-classicisme. Grâce à une synthèse accompagnée de documents, découvrez les artistes et les œuvres les plus marquantes, de la fin du Moyen Âge aux Temps modernes.