Rationaliser la gestion communale, réaliser des économies d’échelle, assurer aux communes une dimension suffisante (en principe 1.000 habitants au minimum), la fusion des communes devait avoir de multiples avantages en termes de gestion et d’efficacité, en dépit des ruptures provoquées avec des réalités sociologiques parfois multiséculaires. En Wallonie, la fusion fait apparaître 13 localités dont la population est supérieure à 30.000 habitants, toutes situées sur l’axe de l’autoroute de Wallonie, lorsque celle-ci sera achevée. Seules Namur, Charleroi et Liège dépassent les 100.000 habitants.
Références
B/Y-157 ; WPH02-382-384 ; WTcM-carte-41
Institut Destrée (Paul Delforge et Marie Dewez) - Segefa (Pierre Christopanos, Gilles Condé et Martin Gilson)