Le quai Notre-Dame offre une succession de maisons construites entre 1680 et 1685, lors de la rectification des quais par Louis XIV. Adoptant le style louis-quartorzien, celles-ci se caractérisent par une alternance entre la pierre (au niveau des encadrements des percements et des bandeaux) et la brique (pour les allèges, trumeaux et entablements) ainsi que par leur côté très géométrique. L’horizontalité y est soulignée par des bandeaux qui courent sur toute la façade et prolongent les linteaux des baies. La verticalité est quant à elle accentuée sur toute la hauteur de la façade par les piédroits des fenêtres.

Hormis au niveau du rez-de-chaussée, aux percements contemporains, cette maison montre deux niveaux de trois étroites travées sur un soubassement appareillé. L’étage présente des baies à bossages aux châssis aux croisées restituées dont les montants sont, pour certaines, communs aux percements de la maison voisine. La toiture en bâtière de tuiles est ouverte d’une lucarne à croupe.

Le quai Notre-Dame offre une succession de maisons construites entre 1680 et 1685, lors de la rectification des quais par Louis XIV. Adoptant le style louis-quartorzien, celles-ci se caractérisent par une alternance entre la pierre (au niveau des encadrements des percements et des bandeaux) et la brique (pour les allèges, trumeaux et entablements) ainsi que par leur côté très géométrique. L’horizontalité y est soulignée par des bandeaux qui courent sur toute la façade et prolongent les linteaux des baies. La verticalité est quant à elle accentuée sur toute la hauteur de la façade par les piédroits des fenêtres.

Contrastant avec ses voisines en raison du badigeon blanc qui recouvre la totalité de sa façade et par les percements du rez-de-chaussée, postérieurs, cette maison montre deux niveaux de quatre travées sur un soubassement appareillé. Une toiture en bâtière de tuiles ouverte d’une lucarne à croupe aux ailerons à volutes surmonte l’édifice.

Le quai Notre-Dame offre une succession de maisons construites entre 1680 et 1685, lors de la rectification des quais par Louis XIV. Adoptant le style louis-quartorzien, celles-ci se caractérisent par une alternance entre la pierre (au niveau des encadrements des percements et des bandeaux) et la brique (pour les allèges, trumeaux et entablements) ainsi que par leur côté très géométrique. L’horizontalité y est soulignée par des bandeaux qui courent sur toute la façade et prolongent les linteaux des baies. La verticalité est quant à elle accentuée sur toute la hauteur de la façade par les piédroits des fenêtres.

Contrastant avec ses voisines en raison du badigeon blanc qui recouvre la totalité de sa façade et par les percements du rez-de-chaussée, postérieurs, cette maison montre deux niveaux de trois travées sur un soubassement appareillé. Une toiture en bâtière d’ardoises surmonte l’édifice.

Le quai Notre-Dame offre une succession de maisons construites entre 1680 et 1685, lors de la rectification des quais par Louis XIV. Adoptant le style louis-quartorzien, celles-ci se caractérisent par une alternance entre la pierre (au niveau des encadrements des percements et des bandeaux) et la brique (pour les allèges, trumeaux et entablements) ainsi que par leur côté très géométrique. L’horizontalité y est soulignée par des bandeaux qui courent sur toute la façade et prolongent les linteaux des baies. La verticalité est quant à elle accentuée sur toute la hauteur de la façade par les piédroits des fenêtres.

Cette maison montre deux niveaux de trois travées sur un soubassement appareillé. Ces niveaux sont percés de baies à bossages dont les montants sont, pour certaines, communs aux percements de la maison voisine. Les allèges sont constituées de briques recouvertes d’un badigeon rouge. La toiture en bâtière d’ardoises est percée d’une lucarne à fronton triangulaire reposant sur des pilastres.

Le quai Notre-Dame offre une succession de maisons construites entre 1680 et 1685, lors de la rectification des quais par Louis XIV. Adoptant le style louis-quartorzien, celles-ci se caractérisent par une alternance entre la pierre (au niveau des encadrements des percements et des bandeaux) et la brique (pour les allèges, trumeaux et entablements) ainsi que par leur côté très géométrique. L’horizontalité y est soulignée par des bandeaux qui courent sur toute la façade et prolongent les linteaux des baies. La verticalité est quant à elle accentuée sur toute la hauteur de la façade par les piédroits des fenêtres.

Cette maison montre deux niveaux de trois travées sur un soubassement appareillé. Ces niveaux sont percés de baies à bossages dont les montants sont, pour certaines, communs aux percements de la maison voisine. Les allèges et la baie murée sont constituées de briques recouvertes d’un badigeon rouge. La toiture en bâtière de tuiles est ouverte d’une lucarne à croupe.

Le quai Notre-Dame offre une succession de maisons construites entre 1680 et 1685, lors de la rectification des quais par Louis XIV. Adoptant le style louis-quartorzien, celles-ci se caractérisent par une alternance entre la pierre (au niveau des encadrements des percements et des bandeaux) et la brique (pour les allèges, trumeaux et entablements) ainsi que par leur côté très géométrique. L’horizontalité y est soulignée par des bandeaux qui courent sur toute la façade et prolongent les linteaux des baies. La verticalité est quant à elle accentuée sur toute la hauteur de la façade par les piédroits des fenêtres.

Cette maison montre deux niveaux de trois travées sur un soubassement appareillé. Ces niveaux sont percés de baies à bossages dont les montants sont, pour certaines, communs aux percements de la maison voisine. La baie postiche ainsi que les allèges des percements sont constitués de briques couvertes d’un badigeon de couleur rouge qui met en valeur la liaison entre les fenêtres de l’étage. La toiture en bâtière d’ardoises est ouverte d’une lucarne à fronton triangulaire.

Contrastant avec les bâtiments voisins, cet immeuble néoclassique a été construit dans le premier tiers du XIXe siècle. Il compte sept travées de trois niveaux de hauteur dégressive, percés de baies à linteau droit. Les allèges de ces fenêtres, dotées de simples panneaux, alternent avec des médaillons ornés de reliefs et rosace, placés sous chaque trumeau. Les étages sont soulignés par des bandeaux et des corniches au profil mouluré. Du rez-de-chaussée originel, il ne reste que les trumeaux à bossage.

Comme sa voisine, la façade montre une sobriété chère au néoclassicisme : enduit blancs, bandeaux horizontaux saillants, trumeaux en pilastres et chapiteaux moulurés… conférant à l’ensemble régularité, horizontalité et homogénéité.

Contrastant avec les bâtiments voisins, cet immeuble néoclassique a été construit dans le premier tiers du XIXe siècle. Il compte sept travées de trois niveaux de hauteur dégressive, percés de baies à linteau droit. Les allèges de ces fenêtres, dotées de simples panneaux, alternent avec des médaillons ornés de reliefs et rosace, placés sous chaque trumeau. Les étages sont soulignés par des bandeaux et des corniches au profil mouluré. Du rez-de-chaussée originel, il ne reste que les trumeaux à bossage.

Comme sa voisine, la façade montre une sobriété chère au néoclassicisme : enduit blancs, bandeaux horizontaux saillants, trumeaux en pilastres et chapiteaux moulurés… conférant à l’ensemble régularité, horizontalité et homogénéité.

Le quai Notre-Dame offre une succession de maisons construites entre 1680 et 1685, lors de la rectification des quais par Louis XIV. Adoptant le style louis-quartorzien, celles-ci se caractérisent par une alternance entre la pierre (au niveau des encadrements des percements et des bandeaux) et la brique (pour les allèges, trumeaux et entablements) ainsi que par leur côté très géométrique. L’horizontalité y est soulignée par des bandeaux qui courent sur toute la façade et prolongent les linteaux des baies. La verticalité est quant à elle accentuée sur toute la hauteur de la façade par les piédroits des fenêtres.

Cette maison d’angle montre deux niveaux de cinq travées sur un soubassement appareillé. Ces niveaux sont percés de baies à bossages dont les montants sont, pour certaines, communs aux percements de la maison voisine. Les allèges sont en briques couvertes d’un badigeon rouge. Lors de la restauration de ce bâtiment, les croisées ont été restituées en matériaux modernes. La toiture en bâtière d’ardoises est ouverte d’une lucarne. Le bâtiment se poursuit vers la rue Dame-Odile par une travée aveugle de typologie similaire à la façade principale.

Le quai Notre-Dame offre une succession de maisons construites entre 1680 et 1685, lors de la rectification des quais par Louis XIV. Adoptant le style louis-quartorzien, celles-ci se caractérisent par une alternance entre la pierre (au niveau des encadrements des percements et des bandeaux) et la brique (pour les allèges, trumeaux et entablements) ainsi que par leur côté très géométrique. L’horizontalité y est soulignée par des bandeaux qui courent sur toute la façade et prolongent les linteaux des baies. La verticalité est quant à elle accentuée sur toute la hauteur de la façade par les piédroits des fenêtres.

Cette maison montre deux niveaux de trois travées sur un soubassement appareillé. Ces niveaux sont percés de baies à bossages dont les montants sont, pour certaines, communs aux percements de la maison voisine. La toiture en bâtière de tuiles est ouverte d’une lucarne à croupe.