« Sans la conquête par César, il n’y aurait pas eu de Wallonie », répétait volontiers Léopold Genicot. Comme Félix Rousseau avant lui, le professeur de l’Université catholique de Louvain y voit un événement capital expliquant la frontière linguistique, l’emploi d’une langue romane et, plus tard, l’influence du christianisme. En repoussant ses frontières jusqu’au Rhin et réussissant la conquête des îles britanniques, Rome place d’importants territoires sous son influence durable.
Références :
www_cm0058H1 ; www_cm0058H2
Paul Delforge